lespeintresdenevers
Avr 12, 2023
Après l’humiliation Chinoise, Macron voulait retrouver son aura aux Pays-Bas, mais une salve de protestations est venue des tribunes. Des jeunes l’ont interpellé, avec une banderole, où ils se demandaient où était passée la démocratie en France. Le public s’est même joint à l’algarade, en applaudissant spontanément. Comme ce vent de liberté fait du bien. Loin de ses bases, incapable de contrôler les intervenants avec ses CRS et sa police, le petit prince nu a dû affronter l’ire du public étranger. Macron, qui choisit habituellement son public, a été surpris par la clameur de la foule, indélicate à ses oreilles. Impossible de faire incarcérer les fauteurs de troubles, comme c’est devenu l’habitude en France.
À Nevers, un homme criant à Borne qu’il ne voulait pas de sa réforme, avait été interpellé par huit gendarmes. Et souvenez vous de cette écolière, qui avait eu l’outrecuidance de le héler devant la foule, le lendemain les gendarmes étaient allés à son lycée, pour lui faire la morale. Devant une nation qui le déteste, il prend l’habitude de filer à l’étranger, pour redorer son image et tenter de récupérer un peu d’importance, mais ses gesticulations sont devenues vaines.
El pueblo unido jamás será vencido. Place du Palais Royal. Vidéo @fernand73185746
pic.twitter.com/2W3uiVUPcd— Marc Endeweld (@marcendeweld) April 9, 2023
Le journal Der Spiegle, plus tôt dans la journée, se demandait s’il avait encore toute sa tête. Le monde entier le voit désormais comme le dictateur qu’il est et le rejette. Il n’y a heureusement que nos parlementaires pour le sauver et lui apporter tous leurs soutiens, notamment les LR, principale béquille d’un président détesté par les Français, et maintenant honni et méprisé à l’étranger. Chacune de ses sorties internationales l’enfonce dans la médiocrité. Il cumule les bourdes, les maladresses, qui se transforment en fautes diplomatiques et lui font perdre le peu de crédit qui lui restait.
Chassé du continent africain, chassé du continent asiatique, ses récentes déclarations sur le suivisme US devraient lui valoir une interdiction de séjour outre Atlantique. Son seul refuge reste la France, puisque même au sein de l’Europe, il se dresse des voix pour lui rappeler ce qu’il est, un dictateur de la pire espèce. Mais chez nous, les parlementaires préservent son poste, lui pardonnent toutes ses trahisons, toutes ses insultes, même les doigts d’honneur de Dupont-Moretti à des députés LR. Si peu d’honneur, si peu de dignité avilissent l’image de la France et de ses citoyens. Que ces tartuffes se regardent dans une glace, qu’ils écoutent non seulement la France qui crie sa colère depuis des semaines, mais aussi, et c’est nouveau, l’étranger qui clame son désespoir, de voir la France sombrer dans la dictature. La lucidité a-t-elle déserté les travées de l’Assemblée nationale et du Sénat ? Pourtant, il est plus que jamais temps de le virer de cette fonction qui n’a jamais été taillée pour ses épaules. Mais le voilà devenu un danger pour la planète entière. Il pourrait bien être lâché par ses commanditaires et même poussé vers la sortie plus sauvagement qu’une simple destitution.
La balle est dans le camp du parlement. Vont-ils lui sauver la mise encore une fois pour avoir la satisfaction de le voir commettre impairs et insultes, ou rendre à la France un peu de dignité ? Encore une fois, la destitution constitutionnelle est la meilleure voie de sortie de crise.
Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF, chargé du suivi de la vie parlementair
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