Au Mali, Salif Keita accuse la France de financer les djihadistes

par 16 Novembre 2019
Dans une vidéo postée sur Facebook, Salif Keita accuse la France de financer les groupes djihadistes qui endeuillent le Mali. Le chanteur s’adresse directement au président malien, Ibrahim Boubakar Keita, à qui il demande de ne plus se “soumettre à ce petit Macron”. Des propos dénoncés par l’ambassade de France au Mali.
Il faut que je parle. Le Mali avant tout“, c’est le message urgent relayé par la page officielle de Salif Keita sur Facebook.

 

Message Urgent: “Il faut que je parle. Le Mali avant tout” #salifkeita

Δημοσιεύτηκε από Salif Keita Official Fan Page στις Πέμπτη, 14 Νοεμβρίου 2019

Lire la suite https://afrique.tv5monde.com/information/au-mali-salif-keita-accuse-la-france-de-financer-les-djihadistes

Un ministre nigérien répond à Salif Keita après ses accusations de connivence entre la France et les terroristes

Les déclarations de Salif Keita la semaine dernière n’ont pas fini d’alimenter les débats au Mali, et même ailleurs. Après le communiqué officiel de l’Ambassade de France et les réactions de leaders d’opinion maliens, voici le ministre des finances nigérien qui s’en mêle.
Malivox.net – Le célèbre chanteur malien de renommée internationale s’est adressé en des termes on ne peut plus clairs à son « grand frère » IBK pour qu’il se ressaisisse « ou qu’il parte ».
D’après Salif Keita, c’est « la France qui alimente le terrorisme au Mali. Sans elle, il n’y a pas de terrorisme », a-t-il déclaré, invitant le président de la République à se démarquer de ce pays.
Cette sortie en langue nationale Bamanakan et en vidéo a surpris plus d’un, même si la position de l’artiste a toujours été de cette nature. Des propos, certes souvent éloignés de la réalité, qui traduisent toutefois un sentiment largement partagé au Mali.
Lire la suite https://malivox.net/un-ministre-nigerien-repond-a-salif-keita-apres-ses-accusations-de-connivence-entre-la-france-et-les-terroristes/#.XdO4FdVS-Ul

Read also:
Thousands of Campesinos March in Paraguay to Pressure Lawmakers